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Qui eût cru qu'un RTT marcherait un samedi ? Parce que le temps était annoncé agréable, et il le fut, et qu'une petite marche de décrassage après les agapes de Noël ne pouvait qu'être bienvenue, Joël, Pierre, Michel, Jean-Marc, et aussi Dalton, Funny et Horus, ont défié le sens commun .

Six RTT - Françoise, Alain, Pierre, Michel, Joël, Jean-Marc -au départ de Rodon, hameau dépendant de la  commune du Mesnil-Saint Denis, dans la vallée de Chevreuse. Le coin est bien connu, mais nous avons pourtant traversé quelques territoires que nous ne connaissions pas.

Nous étions sept avides de déconfinement pour marcher sur ce très connu sentier des Oratoires entièrement situé dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye. C'est Françoise qui était à la barre, la troupe étant composée de Michèle, Alain, Joël, Jean-Louis, Michel, Jean-Marc, et nos enthousiastes compagnons canins, Funny et Horus.

Trois heures de liberté permises par l'assouplissement du confinement, le calme de la forêt de Marly, et une matinée partiellement ensoleillée afin de nous rendre plus belles encore les couleurs de l'automne.

Au programme, la boucle de Guernes, juste au-dessous de celle de Moisson parcourue la semaine dernière. Michèle, Magalie, une nouvelle ancienne, Pierre, Michel, Joël, Alain et Jean-Marc pour ce très beau parcours par un temps nuageux, mais sec et doux.

Tout à l'ouest des Yvelines, la Seine fait des boucles, notamment celles de Guernes et de Moisson. C'est la partie ouest de cette dernière qu'Alain a mis au programme de ce jeudi, qu'ont suivi Pierre, Jean-Louis et moi-même.

Encore une fois, nous avons dû ajouter 2 km au 16 prévus, des chemins figurant sur la carte IGN n'existant plus ou ayant été privatisés. Cela n'a pas empêché Françoise, Michèle, Jean-Louis, Alain, Pierre et moi-même d'arriver largement dans les temps pour permettre à Alain de se faire élire triomphalement au conseil syndical de son immeuble.

Cinq qui n'ont pas craint la pluie, et Funny seul marcheur à quatre pattes ce jeudi. La pluie s'est invitée pendant le pique-nique, que nous avons ingurgité debout, abrité plus ou moins, mais plutôt moins que plus, sous les arbres.